Editorial
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Grève le jeudi 15 mai 2008
- par Ritchy
le 04/05/2008 : 20h37
Pour la défense et l’amélioration de la Fonction publique, toutes et tous en grève le jeudi 15 mai 2008 Ci-joint les appels à la journée d’action du 15 mai dans la Fonction publique : appel unitaire, appel de la Fédération, appel de la CGT Fonction publique. Communiqué commun des organisations syndicales de la Fonction publique : CGT, UNSA, FSU, Solidaires, CFTC. Pour défendre et améliorer la Fonction publique, place à la mobilisation. 
Communiqué commun Lire le communiqué de la Fédération "Le 15 mai 2008, toutes et tous dans l’action" :  
Communiqué de la Fédération Pour la défense et l’amélioration de la Fonction publique, toutes et tous en grève le jeudi 15 mai. Lire l’appel de la Cgt Fonction publique : 
Appel de la CGT Fonction publique
ACTION DU 24 JANVIER
- par Ritchy
le 04/05/2008 : 20h37
L’ACTION DU 24 JANVIER PLUS QUE JAMAIS INCONTOURNABLE la demande des ministres, une délégation de la CGT a été reçue par M André SANTINI hier lundi 14 janvier, comme tous les syndicats de la Fonction publique. ALors de cet entretien d’un peu plus d’une heure, un constat de large désaccord a été confirmé.Les quelques avancées obtenues grâce à la mobilisation du 20 novembre ont certes été de nouveau évoquées : la valeur du point fera partie des négociations, des mesures partielles sur la grille indiciaire seraient envisagées, les primes et indemnités ne seront plus intégrées au calcul sur le maintien du pouvoir d’achat, des négociations annuelles sur les salaires pourraient être mises en place, des dispositions « ciblées » pour une partie des agents –éventuellement rétroactives à partir de 2003- sont négociables…Mais, sur l’essentiel, on reste loin du compte.Toujours aucune mesure chiffrée et datée, étant même précisé par le ministre qu’une augmentation du point au moins égale à l’inflation est totalement exclue. Les années antérieures sont passées aux pertes et profits pour ce qui concerne les mesures générales. Confirmation est faite de l’aggravation des réductions d’effectifs. Enfin, sans être exhaustif, la perspective d’une Fonction publique de métiers est mise en avant, avec une loi-cadre soumise au Parlement dès 2008, pour une application en 2011.Si une rencontre avec le Premier ministre est annoncée et, à la suite, de nouvelles séances de « négociations », aucun de ces rendez-vous n’aura lieu avant le 24 janvier. On appréciera ce qu’est le dialogue social pour nos interlocuteurs et la conception qu’ils ont du préavis …Dans ces conditions, cela renforce la nécessité d’une journée d’action massive de grève et de manifestations le 24 janvier, décidée en unité syndicale (CGT, CFDT, FO, FSU, UNSA, Solidaires, CFTC).Tout doit être mis en oeuvre, dans l’unité la plus large, pour que, à cette occasion, le rapport de forces indispensable se développe encore.Pour la CGT, si le Président de la République et son gouvernement persistent dans leurs positions, la question des suites les plus rapides possibles au 24 janvier sont d’ores et déjà posées.C’est cette démarche qu’elle proposera aux autres organisations syndicales lors de la prochaine rencontre unitaire du 17 janvier en fin d’après-midi. Montreuil, le 15 janvier 2008
18 octobre :
- par Ritchy
le 17/01/2008 : 23h04
18 octobre : Toutes et tous dans l’action Déclaration de la Fédération Cgt des services publics Montreuil, le 2 octobre 2007 Déclaration de la Fédération CGT des Services publics LE 18 OCTOBRE TOUTES ET TOUS DANS L’ACTION Loin de prendre les mesures ambitieuses et progressistes indispensables pour une fonction publique de qualité, répondant aux attentes des usagers et des agents, le gouvernement reste sourd aux revendications des personnels en matière de salaires, de retraite, de lutte contre la précarité, de prise en compte des besoins de service public… Messieurs Sarkozy et Fillon, aux côtés du Medef, ont la volonté d’aggraver les conditions de vie et de travail de tous les salariés, du public comme du privé. Ils s’en prennent aux services publics, aux garanties collectives et statutaires, à tous les régimes de retraite, au droit de grève… En voulant accélérer la mise en œuvre de leurs projets, ils bafouent le principe du dialogue social. Pour la CGT, d’autres choix sont possibles. Dans le prolongement du 13 octobre, la Fédération des services publics, appelle, le 18 octobre, les syndicats à s’investir fortement dans les territoires pour aller à la rencontre des salariés du public comme du privé. Il nous faut mettre en débat avec eux nos propositions sur la nécessaire amélioration des services publics et sur les conditions de départ à la retraite. A l’opposé de toutes tentatives de division des salariés, nous devons porter les solidarités entre les salariés des régimes spéciaux, des régimes particuliers, et du régime général. Travaillons à le faire dans un cadre unitaire le plus large possible Faisons de la journée du 18 octobre un moment fort d’expressions des revendications des salariés en terme de développement des services publics, du pouvoir d’achat et des retraites. Participons nombreux à toutes les initiatives de déploiements, de rassemblements, de manifestations pouvant aller jusqu’à la grève. Elle appelle les salariés à se mobiliser et à participer aux initiatives prévues dans les territoires. Montreuil, le 3 octobre 2007
Le Président répond aux attentes... du Medef !
- par Ritchy
le 05/10/2007 : 12h59
Le discours du Président de la République sur les réformes sociales à mettre en œuvre prennent appui sur les thèmes qui font les préoccupations sociales exprimées par les français durant les campagnes électorales et dans les derniers sondages : chômage, pouvoir d’achat, retraite, protection sociale en général. Mais les réponses apportées ne répondront pas aux attentes sociales des salariés. Au contraire, sous couvert de besoin de solidarité, de dialogue social, les mesures qui se dessinent sont de nature à faire peser l’essentiel des efforts demandés pour réformer le contexte social sur les seuls salariés et quasiment rien n’est demandé aux entreprises ; Il est par contre affirmé que réformer les régimes spéciaux serait urgent dans le cadre d’une troisième réforme des retraites. Ce n’est donc pas qu’une question d’équité. En revanche, rien n’est proposé pour prendre en compte la question de la pénibilité au travail. Rien sur le pouvoir d’achat et l’augmentation des salaires. L’éclatement du système de la sécurité sociale est préfiguré avec la mise en avant de l’assurantiel sur le risque de la dépendance et le financement par les franchises médicales sur la maladie d’alzheimer, le plan cancer ou les soins palliatifs. Si Nicolas Sarkozy est obligé d’affirmer que les partenaires sociaux sont incontournables et que les réformes se feront en prenant le temps du dialogue social, pour autant le calendrier annoncé au pas de charge dément cette intention. De plus, les mesures annoncées répondent généralement aux souhaits du Medef. Plus que jamais, la Cgt veut se tourner résolument vers les salariés pour construire avec eux les revendications et les mobilisations autour de leurs attentes sociales. La manifestation organisée le 13 octobre à Paris par la Fnath et l’Andeva sur la question des conditions de travail, la santé au travail et plus largement la protection sociale sera l’occasion d’affirmer des exigences fortes. La Cgt appelle ses organisations et les salariés à s’y associer
Interview de Bernard Thibault, Secrétaire général de la Cgt pour Le Parisien du 31 août 2007
- par Ritchy
le 19/09/2007 : 20h55
Comment réagissez-vous au discours programme de Nicolas Sarkozy sur les sujets économiques et sociaux ?
Il était prévisible qu’en choisissant un parterre du MEDEF, le chef de l’Etat prononce un discours favorable aux employeurs. Ceux-ci obtiennent de nouvelles promesses, les salariés devant, eux, se contenter de formules incantatoires ou de l’annonce de mauvais coups. Si le Président de la République reconnaît, enfin, un problème de pouvoir d’achat, nous attendons encore les mesures concrètes pour y remédier. Je ne vois, en tout cas, rien dans ce discours programme qui nous permette de sortir de la situation économique et sociale très préoccupante de notre pays. La présidente du Medef Laurence PARISOT a plaidé pour un relèvement à 61 puis 62 ans de l'âge légal de la retraite et un allongement du nombre d'années de cotisations. Acceptez-vous d'ouvrir ce débat ?
Il est maintenant prouvé que les réformes Balladur puis Fillon se sont traduites par une dégradation du niveau des retraites. Nous ne sommes pas d’accord pour continuer dans cette voie. Il faut bien sûr remettre à plat la situation des retraites. Il y a un besoin de financement, mais celui-ci ne justifie pas de nouveaux sacrifices. Il faut conforter le droit à la retraite à 60 ans. Ceci dit, on ne peut plus raisonner sur la durée de cotisation comme on a raisonné à l'époque où les jeunes commençaient à travailler à 18 ans et étaient presque assurés de ne pas connaître le chômage. Aujourd'hui, on entre dans la vie active à 24 ou 25 ans, le travail précaire s'est généralisé et la France est l'un des pays d’Europe où l'on quitte l'entreprise le plus tôt parce les « seniors » de 53, 54 ou 55 ans sont les premières victimes des plans de dégraissage. Tout cela fait qu'il faut rediscuter des moyens par lesquels on va pérenniser notre système de retraite par répartition. Le « toujours plus » du MEDEF ne sera, en tout cas, pas la base de la discussion. Si vous ne voulez pas toucher à la durée de cotisation, il faudra augmenter les cotisations ?
Soyons clairs. On ne peut pas promouvoir une société de la connaissance et pousser les jeunes à faire des études longues si c’est pour qu’ils en paient le prix fort au moment de leur retraite. Voilà pourquoi nous souhaitons discuter de la possibilité de prendre en compte les années d’études dans la durée des cotisations. Pourquoi pas un relèvement du niveau des cotisations si cela correspond à des droits nouveaux pour les salariés. Il reste que, pour le financement des retraites comme de la sécurité sociale, la vraie clé c’est bien sûr l’amélioration du niveau de l’emploi. Quelles sont, pour la CGT, les autres priorités de la rentrée ?
La question du pouvoir d'achat est essentielle. Au moment où le logement, les transports et la santé sont des postes qui ne cessent d’augmenter dans le budget des Français, les décisions prises depuis trois mois n'ont fait qu'affaiblir les salariés en matière de pouvoir d'achat, et accroître les injustices. Je pense aux franchises sur les soins, qui vont à l'encontre du principe même de solidarité, à la réforme des droits de succession qui profitera aux plus aisés, ou encore aux réflexions en cours sur une hausse de la TVA dite «sociale». Au moment où on baisse l'impôt sur le revenu des plus aisés, relever la TVA serait scandaleux. Salaires, égalité hommes-femmes... cet automne, les syndicats vont négocier sur une avalanche de sujets différents. Est-ce à dire qu'on les écoute enfin ?
Quand j'entends parler de fusion ANPE-Unedic, des «rigidités» du marché du travail, etc. je n'ai pas franchement le sentiment que l'opinion des syndicats pèse de façon déterminante... Pour un grand nombre de dossiers c’est le président de la République qui décide seul. Il va falloir que les salariés interviennent plus fortement sur toutes les questions qui les concernent. La réforme du marché du travail a-t-elle la moindre chance d'aboutir en quatre mois ?
Nous n'accepterons pas, en tout cas, de nouveaux chantages : il s'agit d'une drôle de «négo», puisqu'on nous en fixe le calendrier (NDLR : si, d'ici la fin de l'année, il n'y a pas accord, le gouvernement légifèrera), mais aussi le résultat final. Laurence PARISOT réclame le licenciement négocié de gré à gré ; de notre côté, nous militons en faveur de nouveaux droits collectifs. Sur ce thème, notamment, la CGT poussera à une concertation intersyndicale. Unis, nous serons plus forts. La Coupe du monde de rugby approche. Vous engagez-vous à ce qu'aucune grève ne vienne perturber la fête ?
Pour faire une promesse de ce type, il faudrait que les employeurs s’engagent à arrêter les restructurations ! Vous imaginez la CGT dire aux salariés de Goodyear, qui supprime un quart de ses effectifs, «attendez la fin de la Coupe pour manifester !» Il n’y aura pas de pause sociale, parce qu’il y a des urgences sociales. Cela dit, je vous rassure : la CGT compte énormément de supporters du rugby. Mais, attention, si les entreprises de transport profitent de la Coupe du monde pour faire pression sur les syndicats et les poussent à signer un accord sur l’application de la loi sur le service minimum votée cet été, il ne faudra pas s’étonner s'il y a des tensions. Nous sommes toujours opposés à la déclaration individuelle préalable à une grève. Il doit y avoir des marges de négociation dans les entreprises sinon les discussions seront bloquées. Comment se porte aujourd’hui la CGT ? Vous vous étiez fixé l’objectif d’un million d’adhérents. Où en êtes-vous ?
Les effectifs de la CGT sont stables autour de 700 000 adhérents et ce n’est pas pour nous satisfaisant. Nous ne sommes pas au bon rythme de syndicalisation car il y a des obstacles à celle-ci et, en premier lieu, la peur des représailles surtout dans le privé. Cela étant, il y a une bonne nouvelle c’est le rééquilibrage entre privé et public : 60% de nos adhérents sont du privé contre 40% du public. C’était l’inverse il y a une dizaine d’années. Pour que nous pesions davantage, nous attendons avec impatience la réforme cruciale de la représentativité des syndicats pour faire enfin reconnaître le fait majoritaire dans les négociations. Le Medef s’est engagé à ouvrir les discussions avant la fin de l’année mais je sais le peu d’empressement du patronat à faire bouger les règles de représentativité syndical et de validité des accords. Si le gouvernement et le patronat croient pouvoir imposer leurs réformes avec des syndicats qui ne représentent pas une majorité de salariés, ils se trompent. Propos recueillis par Marc Lomazzi et Odile Plichon
Interview reproduite avec l’aimable autorisation du Parisien. Tous droits de reproduction et de diffusion réservés au journal.
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