Editorial
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![]() Mobilisation du 4 Octobre 2005 - par Cyril le 12/09/2005 : 15h33 Salaires, Emploi, Conditions de travail, Service Public : De bonnes raisons d’agir le 4 octobre ! 21 Juin 2005 : Revalorisation de la filière administrative - par Rene le 06/06/2005 : 14h00 L'évolution des métiers, des techniques, des fonctions, des missions, fait qu'aujourd'hui, le niveau de qualification des agents de la catégorie C administrative est largement supérieur au grade d'agent administratif qui pourtant regroupe la grande majorité des effectifs de la filière. La Direction Générale des Collectivités Locales a confirmé dans son rapport de présentation, que les missions des agents administratifs et des adjoints sont plus que proches.Dès le 16 octobre 2002, la CGT déclarait durant le Conseil supérieur de la Fonction publique territoriale :"le dispositif de l'examen professionnel ne réglera rien ou peu. Bien au contraire, à terme, il conduira à amplifier l'incompréhension et le mécontentement des agents".Aujourd'hui, les faits nous donnent raison. Les fonctionnaires territoriaux concernés comprennent que la réussite à leur examen demeurera sans effet sur leur déroulement de arrière.Cette disposition statutaire s'étend à l'ensemble de la filière administrative. Après les agents, ce sont aujourd'hui les adjoints qui sont visés. De plus, à l'heure où dans son discours, le gouvernement met en avant la nécessaire parité professionnelle homme/femme, il est choquant de voir que dans les faits, il en est tout autrement. En effet, la filière administrative a un des taux de féminisation les plus élevés de la Fonction publique territoriale. Loin des demi-mesures, c'est bien la rénovation de l'ensemble de la filière administrative qui est nécessaire . Dans l'immédiat, nous demandons que le Ministre de la Fonction publique et les élus locaux s'engagent à rpendre les dispositions nécessaires pour la nomination au grade d'adjoint administratif de tous les agents ayant réussi l'examen professionnel. Nous appelons l'ensemble des agents de la filière administrative, au-delà l'ensemble des fonctionnaires territoriaux à signer massivement la pétition nationale et à se rassembler en nombre, L'urgence de nouvelles réponses sociales en Europe et en France - par Ritchy le 01/06/2005 : 20h29 Après le rejet sans équivoque du traité constitutionnel, la Cgt réaffirme l'urgence de réponses sociales en Europe et en France. Elle exige l'ouverture d'une grande négociation sociale sur les choix budgétaires et économiques pour 2006 et propose une rencontre rapide à ses partenaires syndicaux
Le scrutin du 29 mai a été marqué par une très forte participation manifestant l’aspiration des citoyens à intervenir dans la définition des choix politiques qui engagent leur avenir, en France et en Europe. Cette participation accroît la valeur du résultat. C’est un événement politique de grande importance ressenti comme un point d’appui par les salariés. Les Français ont rejeté sans équivoque le traité constitutionnel. Ce résultat a été obtenu après un débat public, sans précédent, portant sur les questions européennes et le lien qu’elles entretiennent avec la situation économique et sociale dans notre pays. La Cgt a pris toute sa part dans ce débat, dans le cadre de ses prérogatives syndicales. Une très grande majorité des salariés de toutes générations, qu’ils soient du public ou du privé, a contribué à ce résultat. Ils ont d’abord affirmé leur rejet des modalités actuelles de la construction européenne, marquées par le néolibéralisme, et leurs critiques de ses graves insuffisances, notamment sur les objectifs sociaux. La Cgt avait clairement mis en avant ces réalités ces derniers mois. Comme l’ont précisé de nombreux électeurs, ce vote ne traduit pas une attitude de repli. Une majorité des salariés aspire à un projet européen répondant à leurs exigences sociales dans un cadre solidaire. Un tel projet doit être porteur d’une réorientation du processus de mondialisation pour le progrès social, le développement durable et la paix dans le monde. Ce vote est également une sanction explicite de la politique menée par le Gouvernement depuis 3 ans. La « réforme » des retraites, la « réforme » de la Sécurité sociale, la mise en cause des 35 heures ne sont pas acceptées. La Cgt n’a cessé de le répéter. Aujourd’hui, les salariés n’attendent pas seulement un changement de gouvernement mais un changement de cap dans les orientations économiques et sociales. Le gouvernement, quel qu’il soit, et le Medef doivent renoncer aux réformes autoritaires profondément inégalitaires, à leurs velléités de s’attaquer au Code du travail, au droit de grève, aux droits des chômeurs et à poursuivre dans la voie des privatisations. La réponse à la situation ne réside vraiment pas dans une fuite en avant vers un libéralisme plus affirmé qu’appellent de leurs vœux, dès maintenant, les directions de l’UMP et du Medef. Les revendications exprimées depuis de longs mois sur les salaires, l’emploi, la précarité, les délocalisations, la protection sociale, l’avenir de l’industrie et des services publics, doivent déboucher rapidement sur des résultats concrets. La Cgt exige l’ouverture rapide d’une grande négociation sociale, avant que ne soient arrêtés les principaux choix budgétaires et de politique économique pour 2006. Le Gouvernement français doit demander le retrait des projets de directives Temps de travail et Services dans le marché intérieur (ex Bolkestein). La crise que nous vivons actuellement démontre l’urgence de nouvelles réponses sociales. Elles doivent être portées par des mobilisations larges, unitaires, solidaires. A ce titre, l’action unitaire prévue le 2 juin à la SNCF, celle pour l’emploi industriel du 9 juin, celle des retraités le même jour, contribuent à une dynamique sociale. Le rendez-vous du 10 juin, avec le gouvernement et le patronat, sur les salaires, la négociation du 21 juin sur la pénibilité du travail et le droit à la retraire anticipée, la journée internationale de lutte contre la pauvreté le 1er juillet, date à laquelle le SMIC doit être revalorisé, constituent autant d’opportunités. La situation issue du référendum du 29 mai confère de grandes responsabilités à la Cgt, à l’ensemble du mouvement syndical en France et en Europe. L’unité revendicative, la lucidité et une grande détermination s’appuyant sur la mobilisation des salariés sont de plus en plus nécessaires. C’est le point de vue que la Cgt fera valoir auprès de tous ses partenaires syndicaux, auxquels elle propose une rencontre rapide. C’est aussi ce point de vue qu’elle continuera de promouvoir au sein de la Confédération européenne des syndicats qui appelle « l’Union européenne à se rapprocher des citoyens et de leurs revendications ». La France dit non au projet de Constitution européenne - par Ritchy le 29/05/2005 : 22h17 Résultats du referendum sur la constitution européenne Commentaires à suivre Que le plus bas salaire gagne ! - par Ritchy le 09/05/2005 : 18h51 Le site Web allemand Jobdumping.de va arriver en France cet été, avec son système d'enchères inversées pour les emplois promouvant les salaires les plus bas. « Embauche développeur confirmé pour réaliser des tableaux de bord à 10 euros de l'heure. Qui dit moins ? » Aujourd'hui, aucune entreprise française n'oserait formuler une telle annonce sur Internet. Mais cela pourrait changer dès cet été. En effet, un site allemand spécialisé dans les enchères inversées pour des offres d'emploi va lancer en août sa version internationale. Le principe de ce site, baptisé Jobdumping , est simple : une entreprise propose un emploi, et les internautes répondent en offrant des salaires de plus en plus bas. Ouvert en août 2004, il revendique aujourd'hui 20 000 à 30 000 visiteurs par mois et publie 8 000 offres d'emplois réparties en 1200 catégories. Il s'agit essentiellement de « petits travaux » : ménage, vente, nettoyage, etc. Ce site avait provoqué un tollé lorsque le quotidien Libération avait révélé, fin mars, son existence. C'est le manque total de scrupules de son créateur, Fabian Loew, qui avait le plus choqué l'opinion française. « Les salaires allemands sont trop élevés », déclarait-il alors, affirmant lutter ainsi contre le taux important du chômage outre-Rhin. Interrogé aujourd'hui sur ses ambitions françaises, Fabian Loew déclare : « L'économie et le marché du travail sont pratiquement dans le même état en France qu'en Allemagne, et nous allons bien sûr essayer d'aider les Français à gérer par eux-mêmes leur situation face au chômage. » Si le site Jobdumping.de fait peur, rien n'interdit, légalement, de l'importer dans l'Hexagone. « La seule restriction est de respecter le salaire minimal de référence », explique un juriste spécialisé dans le droit de l'Internet. « Le principe des enchères inversées sur Internet se répand de plus en plus, et on peut s'attendre à ce que quelqu'un copie Jobdumping.de, n'y voyant qu'un business model de plus », ajoute-t-il. De fait, les plates-formes visant à obtenir le prix le plus bas sur les prestations informatiques se sont fortement développées , avec des sites comme Prestataires.com ou Hightechpro. Les sociétés qui y sont en concurrence - en utilisant leurs propres salariés - se battent en cassant leurs marges. Mais d'autres font appel à des travailleurs indépendants, qui finalement acceptent de baisser leur prix, et donc leur salaire, pour répondre à ces appels d'offres. Jobdumping.de ne ferait que supprimer un intermédiaire. La menace est bien réelle. La pratique est très courante en Hollande, et, même en France, certaines sociétés s'y sont essayées. « En 2001, Danone avait voulu le faire pour des centres d'appels, et nous l'avions fortement dénoncé », rappelle Noël Lechat, secrétaire général de la fédération CGT des sociétés d'études, prête à se mobiliser à nouveau si le cas se présentait. Les syndicats ont un allié de poids face à ce phénomène : le Medef. Dans ses « Lignes directrices pour l'organisation des enchères inversées sur Internet », publiées en juillet 2004, il déconseille formellement à ses entreprises adhérentes l'application aux offres d'emploi de cette technique : « Le mécanisme d'enchère est en revanche inadapté [...] lorsque le facteur humain est prépondérant (ex. : construction d'immeubles ou d'ouvrages publics, transport routier de marchandises, travail temporaire, prestations intellectuelles, fourniture de certaines pièces ou systèmes complexes) ; ceux-ci doivent être expressément exclus de son champ d'application. » | Connexion...
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